Dans toute sociétée te dans chaque partie de l’organisation sociale , existe un Eros, un enfant espiègle qui décoche ses flèches, parle amour et refuse de grandir.
En économie française, il y a, par exemple, Arnaud Lagardère.
En politique française, c’est désormais Mélenchon qui s’est “collé” au rôle.
En politique, aussi. peut-être plus qu’ailleurs, car la politique a besoin d’archétypes, de mythes issus des divinités de l’antiquité. de personnages qui cherchent à se différencier, en adoptant des postures excessives dans le panthéon polythéiste de la représenation du grand monde.
Mélenchon l’a bien compris comme il sait que cet amour un peu fou qu’il donne et reçoit n’a pas d’issue véritable., Il ,voit que celui qui donne sans cesse des coups de pieds dans la fourmilière ne sait pas comment sortir de ce mythe du “sale gosse” qu’on ne sait pas comment virer et qu’on ne peut s’empêcher d’aimer.
Publié par G. Lewi
Eros croisé à l’enfant espiègle ? Pourquoi pas, en tous cas une force de vie qui traverse les êtres, et qui demande aussi un alter ego : non pas parental, qui castrerait cette force, ni l’autre “enfant” qui infantiliserait la relation, il reste celle “d’adulte à adulte” avec chacun leur part d’enfance créative !
Merci Danielle.Assurément adulte. Tu as raison.Amitié.
Sans doute le “sale gosse” est-il une soupape nécessaire au désespoir de tant de pauvres gens déçus… qui n’ont pas, jusqu’à présent, basculé dans la lie de l’extrême droite. Nécessaire mais suffisant ? Sans sursaut, au moins symbolique, bien improbable du pouvoir en place, le sale gosse risque de s’épuiser en vain…
Une soupape comme celle provoquée par tous les “eros”, Alain. Merci de ton commentaire.