Au fait, comment se dit marketing en français? Ma chronique sur Influencia

Je terminais par cette question “Comment se dit marketing en français? ma chronique de cette semaine sur Influencia, la newsletter et le magazine d’Isabelle Musnik qui ont pris une belle place dans l’univers de l’analyse des tendances et des faits de société.

J’analysais les analyses qui visiblement se concrétisent dans les faites des intentions d’achats  des Français pour Noël, des intentions de dépenses pour les repas des fêtes de fin d’année malgré leur inquiétude face à l’avenir.

L’inquiétude et les dépenses pour Noël sont parallèlement en hausse. L’épargne également.

Les Français sont les seuls en Europe occidentale à penser et vivre ainsi. Sont-ils donc les seuls à croire au Père Noël, à l’espoir que d’un coup de baguette magique, tout pourra s’arranger?

Peut-être bien. Pessimistes pour la nation, pour le collectif, les Français sont optimistes pour eux-mêmes et se disent majoritairement qu’ils trouveront toujours les ressources en eux, autour d’eux pour s’en sortir. La débrouillardise “à la française”, façon de Funès et Bourvil dans la “Grande vadrouille” fait toujours des adeptes. Il existe bien un mythe français.
C’est pourquoi, les images des femmes surtout et des hommes abandonnés de leur famille dans la détresse et “obligés” de vivre sans domicile fixe nous font si mal. Cette image attaque le mythe français de la solidarité et du pays protecteur.Un pays magique où rien de mal  ne devrait pouvoir nous arriver.

Ce mythe qui nous permet de continuer de croire au père Noël.

Il est relayé par un marketing “à la française” sans doute pas mal fait car il colle un peu plus aux réalités du quotidien, de la vie des gens qu’un marketing quelquefois trop désincarné.

http://www.influencia.net/fr/actualites1/tendances,decryptage-mythologue-pere-noel-continue-parler-francais,31,3070.html

 

Publié par G. Lewi

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